Il ne fallait pas lui faire connaître la cage de chasteté 5

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il y a 7 ans

Il ne fallait pas lui faire connaître la cage de chasteté 5

Le samedi suivant, JF tira a nouveau le jeton noir, ce qui signifiait une semaine de chasteté supplémentaire. Fabienne s'amusa à l'attacher par les poignets sur le lit, lui enleva la cage et commença à le branler, l'amenant plusieurs fois au bord de l'orgasme, sans jamais le laisser y accéder. Quand Elle le voyait trop excité, elle s'interrompait et lui infligeait quelques minutes de t o r t u r e s en lui étirant et écrasant les couilles afin de le calmer ; puis Elle reprenait ses caresses afin de le frustrer encore plus.

Pour finir, Elle le remettait en cage en lui faisant de nombreux bisous et câlins, afin de lui faire sentir combien Elle l'aimait et pour le remercier d'être aussi obéissant.

JF un jour lui demanda comment ça se passerait si il tirait le jeton vert qui lui donnerait le droit de la prendre. Elle sourit et lui répondit que ce serait selon certaines conditions qu'Elle imposerait.

« Quelles conditions ? » demanda JF.

Elle lui répondit qu'il le saurait le moment venu : elle avait mis par écrit ces conditions, dans une enveloppe fermée avec sa signature, et qu'il l'ouvrirait seulement le jour où il tirerait le jeton vert, ce qui pouvait se produire dans plusieurs mois. D'ici là, il resterait dans l'ignorance.

Plusieurs trimestres passèrent sans qu'il tire ce jeton vert. Il eu droit quelquefois fois au jeton blanc, qui lui permettait de se « vider » sans orgasme véritable ; et deux fois au jeton bleu : Dans ce cas, Fabienne lui procurait un vrai orgasme en le branlant.

Vu le temps de frustration que JF avait subi auparavant, ces orgasmes étaient intenses et v i o l ents. Ils auraient aussi été très rapides si Fabienne n'avait pris soin de ralentir voire arrêter totalement et souvent ses mouvements afin qu'il ne vienne pas trop vite. Elle ne le laissait enfin jouir que lorsqu'elle l'avait décidé, mais seulement après l'avoir fait attendre longtemps : Elle aimait trop l'entendre gémir et la supplier de le libérer de cette tension insupportable.

Dans les deux cas où JF avait eu droit à un orgasme, Fabienne avait du user de tout son charme pour le convaincre de retourner en cage, et pendant ¾ jours, il était redevenu désagréable et égoïste comme elle s'y était attendue. Elle restait patiente, sachant que quelques jours de cage le rendrait docile comme elle le souhaitait.

Durant toutes ces semaines, JF du endurer de voir Fabienne régulièrement aller chez son amant, en revenant épuisée mais comblée. Ces soirs là, il devait endurer de la voir se faire très belle et sexy pour un autre que lui. Le pire était pour lui de savoir que cet homme avait le droit d'entrer en elle, de jouir en elle, alors que lui même n'avait même pas le doit de jouir, ne serait ce que par une simple masturbation. Fabienne entretenait en plus sa frustration en lui racontant tout ce qui s'était passé avec son amant. Elle le caressait tendrement en lui racontant combien elle avait aimé sucer son amant et combien la bite de celui ci lui procurait du plaisir.

JF bandait dans sa cage mais elle refusait de céder à ses demandes de libération. Fabienne adorait le faire souffrir ainsi car plus il était frustré, plus il était obéissant et prêt à exécuter n'importe lequel de ses ordres.

Un soir, JF tira enfin le jeton vert !

Un soupir de soulagement lui échappa, et il sourit de plaisir. Il déchanta vite fait : Fabienne lui fit ouvrir l'enveloppe préparée plusieurs mois à l'avance :

Les seules positions autorisées sont le Missionnaire, ou l'Andromaque où je serai au dessus de toi ! Un minuteur sera réglé sur cinq minutes : si tu n'as pas jouis pendant ces cinq minutes tu devras retourner en cage sans discuter Pour éviter que tu ne viennes égoïstement trop vite, je te passerai une demi heure avant un anesthésique local sur le gland afin de le rendre moins sensible. De plus, tu devras enfiler une gaine en silicone : Celle ci t'évitera trop de sensations directes sur le bout du sexe, la gaine étant très épaisse autour du gland. Cela aura également pour avantage de te rendre plus « épais » et d'augmenter mes sensations.

Comme elle l'avait annoncé, Fabienne lui pulvérisa un spray sur le gland qui le rendit peu à peu engourdi. Puis, elle le masturba pour le rendre dur, et elle lui enfila la gaine en silicone. Celle-ci très extensible et relativement fine sur la hampe de la verge, était par contre très épaisse autour du gland.

Fabienne le fit s'allonger sur le dos, puis descendit et s'empala sur lui : JF bandait très fort mais ne ressentait que des sensations diffuses autour de son sexe. Il paniqua à l'idée qu'il n'avait droit qu'à 5 minutes et s'activa en elle, qui gémissait d'aise. Lorsque le minuteur sonna, Il n'avait pas pu jouir : Fabienne se redressa, le laissant frustré et insatisfait, et il ressentit comme une sensation de désespoir.

Elle lui enleva la gaine, le lava puis lui remis la cage en lui prodiguant pleins de bisous tendres et câlins. Malgré ces démonstrations de tendresse et d'affection, JF fut très malheureux : Il s'était fait une fête à l'idée de jouir dans sa Femme, cela faisait trop longtemps qu'il n'en avait plus eu le droit.

La semaine suivante, Fabienne s'inquiétât : JF semblait absent, voire dépressif et ne répondait que par oui ou par non à ses questions. Manifestement, Elle avait été trop loin dans la frustration qu'elle lui avait infligée.

Un soir, Elle le libéra et le laissa jouir en elle sans restriction. JF retrouva le sourire, mais aussi son coté « macho » qu'elle détestait : Il ne l'embrassait plus, ne lui faisait aucun câlin ni bisou.

Elle était furieuse et le remit en cage le plus vite possible. Et elle comptait bien résoudre ce problème : Le faire jouir le moins souvent possible sans le rendre malheureux ! Mais elle détestait son attitude lorsqu'Elle le laissait jouir. Aussi, elle chercha une solution.

Un jour, elle eut une idée : le conditionner pour qu'il associe sa bite à la douleur afin qu'il ne cherche plus à jouir avec sa bite sans penser à une douleur associée. Ainsi, elle pensa qu'il était possible de le rendre plus docile à l'idée d'espacer, voire supprimer ses orgasmes.

Elle commença donc à régulièrement l'attacher debout, les bras en l'air fixés par les poignets à des chaînes. Elle le fouettait avec des martinets plus ou moins durs, jusqu'à ce que les marques soient bien présentes sur son dos et ses fesses.

Elle aurait aimé le briser, le voir craquer sous la douleur et se mettre à la supplier et l'implorer d'arrêter de le supplicier.

Voir JF haletant, totalement épuisé et en larme était l'objectif de Fabienne. Elle s'y employa avec vigueur, augmentant la fréquence des séances de punitions.

Une fois la résistance de JF brisée, Elle commençait à le masturber doucement pour le faire durcir.

« Je ne crois pas t'avoir autorisé à bander ! Tu mérites une punition »

Elle prenait alors un martinet en daim noir dont le manche était plat . Avec le manche, Elle lui frappait les couilles jusqu'à ce qu'il débande totalement sous la douleur.

Elle recommençait alors à le caresser puis, dès qu'il était en érection lui infligeait de nouveau la punition.

Elle avait adoptée aussi une autre forme de t o r t u r e redoutable : Elle lui passait un bracelet appelée dent de Kali lorsqu'il était flacide. Le bracelet était muni à l'intérieur de nombreuses petites pointes en plastiques : dès que JF se mettait à bander, le gonflement de sa queue provoquait l'enfoncement des pointes, ce qui lui procurait une très forte douleur .

Elle s'amusait donc à lui poser le MCD, puis à lui caresser le gland afin de le faire bander, ce qui provoquait pour lui des douleurs terribles, à ce point qu il lui suppliait d'arrêter de le caresser. Elle obtint ainsi peu à peu ce qu'elle voulait : qu'il cesse de penser à sa bite, et qu'il cesse de lui demander de le faire jouir, convaincu que la douleur serait la conséquence et la rançon de ses demandes.

Elle s'amusait aussi parfois à le faire souffrir en lui étalant du piment sur le gland. Dans ce cas, la brûlure intense rendait Jean François aussi docile qu'elle le désirait : Il aurait accepté n'importe quoi pour qu'elle le libère de cette souffrance insupportable.

En contrepartie, Elle le sodomisait plus ou moins doucement au gode ceinture afin de l'habituer à changer les rôles et à ce que ce soit elle qui le possède et non l'inverse.

Souvent aussi, elle s'enduisait la main de lubrifiant, le faisait mettre à quatre pattes et lui enfonçait sa main dans l'anus. Elle s'introduisait ainsi avec douceur mais sans concession, f o r ç a nt le passage sans hésiter s'il résistait.

Une fois à l'intérieur, Elle fermait son poing et bougeait sa main de gauche à droite de façon à ce qu'il la sente bien en lui, et qu'il gémisse de plaisir lorsqu'elle ressortait très lentement de son cul, le poing fermé afin que l'élargissement de son anus soit maximum.

Elle lui chuchotait alors à l'oreille : « tu vois, ton vrai sexe, c'est ton anus ! Il faut que tu apprennes à prendre ton plaisir comme ça ! Avec moi ; ta bite et tes couilles ne seront qu'objets de souffrance, alors prends l'habitude de jouir du cul »

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